"Resto con life"

“Resto con Life - Island conservation in Tuscany, restoring habitat not only for birds” est un projet Life Natura cofinancé par la Commission européenne. Outre le parc national de l'archipel toscan, bénéficiaire et coordinateur, l'Institut supérieur pour la protection et la recherche environnementale, le Département de biologie de l'université de Florence ainsi que le bureau territorial pour la biodiversité des gardes forestiers font partie du projet.

Ce dernier est né avec l'intention d'améliorer la conservation de la faune sauvage (oiseaux marins et avifaune, reptiles endémiques) et des habitats des îles de l'archipel toscan.L'objectif, qui devra être atteint par l'éradication d'espèces animales et végétales non endémiques (parmi lesquelles le rat noi, le sanglier, l'agave, le figuier de barbarie, figuier des Hottentots), est d'améliorer les performances de reproduction des espèces autochtones, comme le puffin de Scopoli, le puffin des Anglais, la fauvette pitchou, le goéland d'Audouin, l'euleptes europaea, la chèvre de Montecristo, l'océanite tempête parmi les animaux, le genévrier de Phénicie, le limonium, le lis maritime parmi les espèces végétales.

Le projet prévoit la réalisation d'interventions, en utilisant les techniques les plus avancées, destinées à récupérer ou amplifier la superficie de l'habitat pour la conservation de la biodiversité sur les îles de Montecristo, Giannutri, Pianosa et l'île d'Elbe.

Habitat du projet :étangs temporaires méditerranéens, bois de chênes, falaises avec végétation méditerranéenne endémique ainsi que le système de dunes présent presque exclusivement à Lacona - île d'Elbe où, pour favorire la stabilisation et le protéger de l'érosion et de l'exploitation sland conservation in Tuscany, restoring habitat not only for birds” est un projet Life Natura cofinancé par la Commission européenne. Outre le parc national de l'archipel toscan, bénéficiaire et coordinateur, l'Institut supérieur pour la protection et la recherche environnementale et le Département de biologie de l'université de Florence ainsi que le bureau territorial pour la biodiversité des gardes forestiers.

Le projet est né avec l'intention d'améliorer la conservation de la faune sauvage (oiseaux marins et avifaune, reptiles endémiques) et des habitats des îles de l'archipel toscan.L'objectif, qui devra être atteint par l'éradication d'espèces animales et végétales non endémiques (parmi lesquelles le rat noi, le sanglier, l'agave, le figuier de barbarie, figuier des Hottentots), est d'améliorer les performances de reproduction des espèces autochtones, comme le puffin de Scopoli, le puffin des Anglais, la fauvette pitchou, le goéland d'Audouin, l'euleptes europaea, la chèvre de Montecristo, l'océanite tempête parmi les animaux, le genévrier de Phénicie, le limonium, le lis maritime parmi les espèces végétales.

Le projet prévoit la réalisation d'interventions, en utilisant les techniques les plus avancées, destinées à récupérer ou amplifier la superficie de l'habitat pour la conservation de la biodiversité sur les îles de Montecristo, Giannutri, Pianosa et l'île d'Elbe.

Habitat du projet :étangs temporaires méditerranéens, bois de chênes, falaises avec végétation méditerranéenne endémique ainsi que le système de dunes présent presque exclusivement à Lacona - île d'Elbe où, pour favorire la stabilisation et le protéger de l'érosion et de l'exploitation excessive anthropique, on utilise des techniques de bio-ingénierie.

Lors d'une des premières interventions, 6 nids artificiels ont été placés sur l'île de Pianosa pour chercher à attirer le puffin des Anglais (absent de l'île depuis plus de 30 ans) qui niche à Montecristo ainsi qu'un système acoustique qui, grâce à l'émission de chants, peut faciliter la réintroduction de l'espèce.

En outre, toujours à Pianosa, un monitorage permanent des colonies de puffin de Scopoli, menacée par la présence sur l'île du rat noir, prédateur des œufs et poussins.

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